L’œil d’Horus

Les nœuds, conflits ou cristallisations se produisent suite à une souffrance d’ordre physique, émotionnelle ou psychologique entraînant un traumatisme sur un plan ou sur un autre. Nous savons qu’accepter un de ses propres conflits, c’est déjà avoir parcouru la moitié du chemin de sa dissolution, de la guérison associée. La raison en est que dans cette acceptation il y a la reconnaissance de son existence, et dans cette reconnaissance il y a une reconnexion à l’essence du conflit, et cette essence est toujours lumineuse. L’énergie pure, que l’on peut nommer lumière ou conscience universelle ou autrement encore, est le support de chaque chose. Lors du traumatisme, c’est la peur de la souffrance qui vient créer une gangue cristallisée autour de l’expérience, elle même fixée sur la lumière. Cette gangue va masquer l’expérience et du fait de sa cristallisation, va perturber la fluidité naturelle du champs informationnel de l’être à cet endroit et dans le temps, l’impact sera croissant, touchant tous les corps, apportant son lot de disharmonies. Selon la connaissance que chaque expérience est utile et nous permet de développer des compétences et des qualités particulières, nous pouvons comprendre qu’une fois le conflit repéré, nous allons pouvoir récupérer le trésor contenu et considérer la gangue isolante comme la matérialisation d’un point de vue erroné, qui va donc, grâce à cette prise de conscience, se dissoudre.

C’est ainsi que fonctionne l’œil d’Horus.

La pupille, sphère de lumière blanche, va se désolidariser de la paupière et partir en repérage dans le champs informationnel à harmoniser. La zone cristallisée se laisse repérer car elle sait qu’il n’y aura pas de jugement et que son existence sera reconnue dans son essence de lumière. Cela est dû à la nature de la sphère, très empathique et sans jugement. Ensuite, la sphère va relier cette zone à la paupière qui, quand à elle, à la capacité de reconnecter l’expérience masquée à la source lumineuse de l’être. La gangue adopte alors le point de vue de l’univers, “prend conscience” qu’elle n’est plus utile désormais car l’expérience qu’elle dissimulait est déjà vécue, la souffrance déjà passée, et rend le trésor contenu disponible.

Cet œil d’Horus permet en fait un changement de vision du monde, de point de vue, un nouvel angle de vision, pour dénouer les conflits et libérer les trésors créés. La personne ainsi scannée n’a pas nécessairement une conscience précise des choses traitées sur le moment, la prise de conscience s’effectuant en premier lieu au niveau de ses différents conflits internes. Il s’agit d’un outil d’accompagnement vers la sortie du karma, il permet de réintégrer le fruit de ses expériences passées en prenant le chemin le plus court et dans le plus grand confort.